Les
joueurs doivent cette somme au polonais. En effet, les Sportingmen
n'ont pas échappé au phénomène de mode: le poker s'est investi dans le
vestiaire de la Capitale.
Si Goor s'avère être le plus bluffeur
(il y va fort avec un petit jeu), Marcin est quant à lui le plus
chanceux (on ne compte plus le nombre de fois où il pose la bonne
dernière carte au dernier moment). Et les Argentins sont les plus
mauvais, ils perdent tout le temps; se plaisent à dire les joueurs
mauves.